vendredi 14 janvier 2011

Il n'y a que les imbéciles...

Black Swan débute.

Natalie Portman, c'te laitue.
Pourrais-je un jour lui pardonner d'avoir donné la réplique à Jar Jar Binks ?
D'avoir enchaîné les pires panouilles adolescentes (Garden State, ce genre) ?
D'être si fade, si insipide ?

Black Swan avance.

En fait c'est le rôle parfait pour Portman.
La coincée du cul. Qui veut être parfaite. Mais qui n'a ni coeur, ni âme.
Toute froide. Toute frigide.

Black Swan referme son piège.

Il se passe quelque chose...
Comme s'il suffisait qu'un grand réalisateur triture les tripes de la Natalie.
Oh diantre !
Oh punaise !
Serait-ce... comme le jargon du critique à la con le clame #lerôledunevie ?

Black Swan s'achève
et...

"I was just perfect..."

Love, love, love, etc.

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